La prison - Cellule 078 : Mutant Samuel Brown

Samuel ouvrit paresseusement les yeux, cligna plusieurs fois avant de s'adapter à la lumière aveuglante qui régnait dans la pièce, causée par les murs d'un blanc éclatant. Il garda ses paupières à moitié fermée et laissa un petit gémissement échapper de ses lèvres ainsi qu'un murmure.

"Mal..."

La douleur qu'il ressentait était due à la camisole, avait maintenu ses bras dans la même position durant trop longtemps - afin d'éviter tout accident, avaient-ils dit- et ceux-ci commençaient à s'engourdir, tout mouvement brusque était alors synonyme de douleur... "Ils", c'était les humains bien sûr. Ces imbéciles qui l'avaient enfermé, parce qu'il était soi-disant dangereux. Bien sûr...
Samuel soupira doucement et commença à chanter à nouveau, sa voix très basse, presque un chuchotement :

"....Je crois que je respire, et mes doigts que j'inspire... J'avale et je recrache, je me remplis et me vide... de mon âge... Je me fais que du bien, et je me fais que du sale... c'est normal..."

Jean pouvait rentré dans ce service car elle était docteur et qu'il était facile d'usurper les humains.

*Encore un qu'il mal traite, s'arreteront-ils?*

Elle arriva devant une porte blanche ou seul un petit ublot permettait de voir la personne qui n'était autre que Samuel. Elle lui envoya un message télépathique

* J'arrive, je vais chercher les clé.*

"Maman j'ai peur de tout ce que j'ai à l'intérieur... oh, maman, pourquoi j'ai si peur que tout commence et que tout m'écoeure ?..."

Samuel continuait inlassablement de prononcer les paroles de June. Son obsession pour cette chanson était telle qu'il ne cessait de la répéter plusieurs fois de suite, jusqu'à ce qu'il soit trop épuisé pour pouvoir dire ou faire quoique ce soit.
Il continuait de chanter sa mélodie quand une voix résonna dans sa tête.

"Pourquoi ô moi ? Je ne suis qu'une fille qui s'éteint... je ne suis qu'une fille qui s'éteint... mais je disparais...."

* J'arrive, je vais chercher les clés.*

Il s'en moqua tout d'abord. Il pensait simplement devenir plus fou qu'il ne l'était.

"Je ne suis pas mal... je ne suis pas bien... c'est juste que je ne suis rien. "

La voix qu'il avait entendue courait dans sa tête, résonnant comme l'écho, toujours un peu plus déformée jusqu'à ce qu'il n'arrive plus à en comprendre le sens.

"Reviens-moi... reviens-moi..... reviens-moi........."

Elle lui avait dit qu'elle allait chercher les clé, mais il fallait trouver le garde pour ça. Aussitôt dit, aussitôt fait, le pauvre malheure fesait sa ronde quand il tomba nez à nez contre Jean.
Il salua d'abord le professeur Grey mais, il s'aperçut qu'il ne l'avais jamais vu, alors il sortit son pistolet

Lève les mains, de suite !

Jean obéit gentillement, elle leva les mains.

Je vais m'appocher et te mettre les menottes mais d'abord, je vais...

Il appuya sur un bouton rouge, une alarme retentit.

*Et merde !*

Grâce a sa force mental, elle l'envoya valsé contre le mur tandis que 5 gardes arrivait des deux coté. Heuresement pour Jean, elle avait apprit a manipuler, depuis peu, le cerveau des gens. Elle eur fesait croire qu'elle était le policier de tout à l'heure, et il dit

C'était un entrainement.

Les autres policiers partirent en l'enguelant. Jean arrêta sa manipulation qui fatiguait un peu malgré son grand talent. Elle s'accroupi à côté du pauvre poliier, et elle prit les clé. Elle s'approca a nouveau de le celulle de Samuel. Elle mit la clé dans la cerrure et la tourna.

C'est l'heure de partir.

[ Désolé pour le retard. J'ai des problèmes d'ordi fréquents ]

Ancré dans son propre délire, sa propre folie, Samuel continuait sa rengaine, jusqu'à ce qu'un bruit le fasse sortir -à moitié- de sa fausse << léthargie >>. Il cessa de chanter, chose rare depuis qu'on lui avait enfilé la camisole...
Le fou -car c'était après tout ce qu'il était pour avoir interné un asile psychiatrique, n'est-ce pas ?- tourna la tête doucement vers la porte.
Le bruit caractéristique du verrou venait de retentir, lui indiquant que cette dernière venait d'être ouverte. Il supposa que c'était sans doute un de ses << gardiens >> qui venait lui donner de quoi manger -ici on perdait toute notion du temps, il lui était donc impossible de dire environ quelle heure il était- ou un docteur.

C'est l'heure de partir.

Quand il entendit la voix féminine, la même que celle de ses pensées, prononcer ces mots, il comprit qu'il n'était pas si taré que ça.
Il avait bien entendu quelque chose, et l'apparition d'une longue tignasse rousse vint confirmé sa pensée. Un sourire étira les lèvres de Samuel. Il serait bientôt libre, très bientôt, mais il lui faudrait être encore plus manipulateur que les autres fois.
Autant commencer maintenant. Prenant son air de détresse le plus crédible, il cria à la jeune femme entrée quelques secondes plus tôt :

"So... sortez-moi d'ici... je vous en pris. Je vais devenir fou si je reste dans cet endroit. J'ai mal... s'il vous plaît !"

Dans une cellule proche de celle de Samuel , résidait Anton , enfermé depuis déja un An , dans le noir et arnaché dans une sorte de sarcophage . Notre amis faisait jusqu'à maintenant la sieste et s'éveilla aux bruits venant du couloir .

**Hrm , qu'est ce qui se passe ? **

Anton ne se posa pas de questions supplémentaire et commença à hurler une chanson bien grivoise....

"Un jour la p'tite Huguette..."

Ce récital , faisait partit des Hobby de Anton , qui n'avait que ça à faire de toutes façon . il se rendit compte que quelques chose n'allait pas car on le laissait chanter sans l'interrompre , chose qui n'arrive que tres rarement et apres quatres heures d'entêtements .

**C'est louche tout ça . **

Anton décida d'attendre la suite des événements pour évaluer la meilleure façon d'agir . Si seulement ce foutus sarcophage lui permettait de voir le monde extérieur...heureusement pour lui qu'il n'était pas claustrophobe .

Jean s'occupait de Samuel. Elle ne le porta pas car elle n'avais pas la force physique nécessaire pour porter un homme de cet taille et de surcroit, mal en point. Alors elle utilisa ses dons pour porter Samuel par la force de son esprit qui est sans doute plus forte que sa force physique. Tout en courant dans les couloirs elle entendit plusieurs prisonniers penser :

-Encore ce mutant qui chante ses chansons paillarde !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Jean trouva la cellule très facilement et elle l'ouvrit avec la clé mais ce mutant ou ce fou était dans un sarcophage ce qui posa un doute a Jean, devait-elle le libérer ? Pas le temps de chercher à savoir, la police venait d'arriver et une mutante tel que Jean Grey ne devait pas être vu en train de les libérer. Elle utilisa son don pour décrocher les attaches du sarcophage.

Tu peux marcher ? C'est bon?

Anton sentit qu'on ouvrait le sarcophage , il allait enfin sortir de cet endroit . Les attaches se retirérent et le jeune homme put enfin bouger ses membres , ce qu'il fit avec une grande difficulté . Il ôta la sorte de casque et fut ébloui par la lumiére qui venait de l'extérieur de la cellule , il vit la jeune femme qui lui avait parlé quelques secondes auparavant .

"Moi ? Marcher....bien sûr . "

L'ex-détennus se leva avec difficulté et mit pied à terre du cerceuil

**Tiens j'y arrive .**

Le jeune libre (enfin!!) regardait fixement ses pieds . Il se produit soudain un phénoméne étrange se produisit , Anton commença à s'enfonçer dans le sol , son pouvoir avait produit une centre tres dense qui attirait Anton vers lui . Le jeune homme s'enfonça jusqu'au genou avant que le phénoméne ne cesse .

"Je crois que je vais avoir besoin de ton aide... "

Jean regarda la scène qui était assez pitoyable à voir. Elle déposa alors Samuel au sol car elle avait besoin de concentration. Elle se concentra, visant le sol, celui dans lequel Anton était rentré, et là, elle envoya une sorte de décharge pile sur le sol, celui ci explosa et pour pas que Anton ne se prenne des blocs du sol, elle le protegeait par une sorte de champ psychique.

Ils sont là, dépêchons nous !

* On risque pas d'aller bien loin s'il recommence cela*

Anton fut soulevé du sol en quelques seconde mais il ne s'en inquiéta pas outre mesure .

**Interressant...**

Anton sortit de la cellule .

"Ou va-t'on? "

Tandis que le jeune homme demandait cela , des policiers ou plutôt des cadet de police arrivérent ,ils étaient trois . Anton était devant Jean ce qui les empécha de la distinguer réelement .

"On ne bouge plus , tous à terre , vite . "

Anton sentit quelque chose courir le long de son échine .

**Enfin...**

Tout se passa tres vite, Anton disparut quelques milliseconde pour reparaitre devant les cadets . Le jeune homme frappa chaque cadet evec une vitesse hallucinante , les attaques n'était pas violente mais juste effleuré du bout des doigts en des point bien précis apparement , puis Anton recula rapidement .

"Ah ça soulage . "

Anton tendit sa main et étendit ses doigt puis ferma la main...rien ne se passa .

**Pas maintenant , non , je refuse de mourir ici...je...je...Tuer...Tuer**

Anton rouvrit brusquement la main , rien de plus ne se passa , du moins au début . Un des cadet commença par lacher son arme , puis il se tordit en tout sens jusqu'à se retrouver comme un pantin désarticulé , les deux autres se mirent doucement en mouvement , ils pointérent leurs armes l'un sur l'autre . On lisait la peur dans leurs yeux .

"Que vais-je faire de vous ? vous tuer ou..."

Il se tut et se tourna vers Jean d'un air interrogateur .

Jean n'avait eu le temps de s'occuper des policiers que Anton était déjà en route pour le donner une bonne raclée. Il avait un don extraordinaire, la scène se passa en à peine 30 secondes mais heuresement, celui ci avait caché Jean. Quand il posa sa queston, Jean lui répondit:

-Non, non laissons les en paix, cela ne servirait à rien de les tuers et en plus e cela, je ressent leur peur, ils sont sur le point de ...

C'était déplacé de le dire alors elle laissa sa phrase en suspent.

On peux y aller?

Anton relacha son emprise et laissa les cadets s'enfuir , il devait bien ça à celle qui l'avait sauvé , laissant leurs armes sur place . De toute façon il sentait déja son don s'en aller .

"On peut y aller , de mon coté , la réponse est oui .Ou ? Je ne sais pas du tout , mais loin d'ici si c'est possible . Merci pour tout . "

Anton ramassa les armes et mit une balle dans le canon . Il attendit la suite des événements .

Vingts minutes.
La jeune fille comença à s'impatienter, qu'est ce que Jean faisait bon sang ?! Leur mission consistait juste à aller chercher un mutant, et à le ramener à l'institut. C'est du moins ce qu'elle en avait compris, Jean s'était bien gardé de tout lui dire, comme par exemple, qui étai ces mutants, quels étaient leurs pouvoirs...

Cela faisait maintenant vingts minutes et trente-six secondes qu'elle attendait.. Sa patience était à bout, elle savait que Jean allait lui passer un bon savon, mais elle avait horreur, premièrement des ordres, et deuxièmement d'attendre à rien faire.

Elle descendit du jet de l'institut, et se faufila jusqu'a la prison, elle y rentra avec une facilité déconcertante, ne croisant aucun gardes.
*Ca, une prison ? Et après on s'étonne quand on parle d'évasions massives...*
C'est alors qu'elle entendit des bruits de pas. Des bruits de course. Par reflexe, elle se jeta dans l'ombre d'une alcove dans le mur. Une trentaine de gardes armaient jusqu'au dent passèrent devant elle, l'arme au poing.
Elle recula encore un peu plus, et ils passèrent devant elle sans la voir.
Lorsqu'elle fut sûre qu'ils s'étaient éloignés, elle sortit de sa cachette, et partit en courant dans les dédale de couloir froid et sombre de la prison.
Elle entendit alors des bruits de combat, ou plutôt un rale.
* Jean ! *
Elle accélera et deboucha dans le couloir où se trouvait trois personnes, l'une d'elle était Jean, mais les deux autres lui étaient inconnus. Surement les mutants qu'elles étaient venus aider.
Des corps de gardes gisaient sur le sol, leur arme à plusieurs mètres d'eux. Au début, elle les crut mort, mais voyant leur poitrine bouger faiblement, elle comprit qu'ils n'étaient qu'assomés.
Elle allait prendre la parole, lorsqu'elle entendit un bruit derriere elle.
La patrouille ! La patrouille de trente gardes arrivait!
Elle se retourna brusquement, et les vit déboucher à l'autre bout du couloir, leurs armes pointées vers eux.
Instinctivement, la jeune fille fit jaillir de ses mains des longues flammes. Un feu de mort. Elle aurait pu facilement tous les tuer, mais lorsqu'elle l'avait fait rentré à l'institut, yeux dans les yeux, Jean lui avait fait promettre de ne jamais tuer... Gloria avait acceptait, mais quelque part en elle, dans sa partie plus sombre, ou résidait son vrai pouvoir, elle n'avait pu le promettre.
Les 3 gardes qui se trouvaient devant, lachèrent leur armes sans comprendre pourquoi celles-ci avaient fondues, et pourquoi leur mains leur faisaient si mal et pourquoi... ils étaient en feu !?
Ils poussèrent des cris, et se débarassèrent de leur armure en feu.
Avant que la jeune fille ait réagit, la deuxieme volée de garde fit feu ...

Gloria, oui c'était elle. Elle devait attendre Jean au jet mais elle était d'un tempérament de feu ! Elle fit fondre les armes et brûla quelques gardes qui se roulèrent par terre et quelque co-équipier étteignait le feu comme il pouvait.

*Toujours aussi destructice cette Gloria.*

Mais pas le temps de pensé, des balles, oui des balles tirées des pistolet arrivèrent. C'était au tour de Jean de s'occuper. Les balles volèrent et Jean se concentra sur chaqu'une d'elle, elle tombait au fur et à mesure au sol. Elle laissa s'échapper une petite parole moqueuse.

et ensuite?

**Je vais devoir employer ce qui me reste de puissance pour neutraliser ces malheureux vers . Je ne pourrais sans doute rien faire de plus . **

Anton ferma les yeux et les rouvrit , ils étaientt devenus d'un noir profond ( effet de style ) . Anton commença à voir le monde au ralentit . Un garde voulut recharger son arme , mais avant qu'il eu pu ne serait-ce que bouger la main , une balle traversa cette derniére . Des balles commencérent à partir dans tout le couloir , chacune faisant mouche . Les balles était d'une incroyable précision de par le fait qu'elles rebondissaient
Sur les murs et le sol pour toucher les point sensible des protections , qui était d'ailleurs parois extremement douleureux selon l'endroit touché . Quiand tout les gardes , s'écroulérent plié en deux , Anton tomba sur le sol froid et s'y évanouit .

Gloria jeta un regard reconnaissant vers Jean, qui venait d'arréter les balles qu'elle n'aurait pas eu le temps de stopper.
Lorsque la dernière balle toucha le sol, Gloria reporta son attention sur leurs ennemis, prète à attaquer, mais un des deux hommes prit le devant.

Bien qu'elle ne comprit pas bien ce qui s'était passé, elle vit tous les hommes un à un s'écrouler au sol, une balle enfoncée dans le bras ou la main.

Elle regarda le mutant qui était l'auteur de cette surprenante attaque, en se promettant de s'en méfier.
Lorsque tous les gardes furent mis hors jeu, il s'écroula sur le sol, et Gloria se précipita pour rattraper ne serais-ce que sa tête et lui éviter un choc violent. Elle amortit sa chute du mieux qu'elle put, et le reposa doucement au sol.

Il était beaucoup trop lourd pour elle, et elle ne pouvait pas le porter à l'aide de ses pouvoirs, sous peine de le bruler gravement (eh oui, tout le monde n'est pas insensible au feu comme elle !).
Elle se tourna vers Jean :

" Il va falloir que tu portes aussi celui-la, je n'ai pas la force. Et on ferait mieux de se dépecher, avant que d'autres patrouilles comme celle-ci arrivent. "

Elle savait que Jean avait déjà beaucoup solicité son pouvoir et qu'elle devait être fatiguée, mais elle pria pour que cette dernière est encore assez d'énergie pour faire sortir les deux hommes d'ici.

Elle se leva et s'éloigna de l'homme inconscient pour laisser à Jean le soin de s'en occuper.

Jean n'avait pas vraiment compris la scène, les gardes étaient au sol et le deuxième homme était tombé au sol, sans doute qu'il n'avait plus de force. Gloria avait ammortie sa chute:

*Elle a changée Glorian, avant elle l'aurai tué et tué tous le monde, c'ets une bonne fille, elle a un bon fond.*

Plus le temps de penser ou autres, il fallait partir au plus vite d'ici et aller vers l'institut mais Jean devait porter tous le monde à part Gloria.

Bon, vou deux, évitez de bouger le plus possible s'il vous plait.

Jean se concentra, ses cheveux flottait

[ jfinirait pas, pas la force ... Gloria poste a l'infirmerie de l'institut ou quelque chose comme sa pour que l'on soigne nos compagnons Very Happy

. Chui désolé]

Anton émergea du coma quand il sentit qu'il était levé au dessus du sol .

**Bordel qu'est ce qu'il se passe ? **

Il gesticula et s'écrasa au sol , c'est le prix à payer pour avoir déconcentré Jean . Au prix d'effort sur-humain , Anton se releva puis il tituba vers ce qui ressemblait à un Jet , il entra et s'écroula sur un siége ou il retomba dans un coma .

La suite à l'infirmerie

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